Uzestival Octobre 2024

Après les clameurs estivales de la 47e Hestejada de las arts, les œuvriers et œuvrières artistes et techniciens d’ici d’en Cie Lubat retrouvent leur élaboratoire « Théâtre amusicien l’Estaminet ».
Ils y poursuivent leurs travaux de recherche fondamentalement applicable : rêves éveillés en réalités mises à distance, énergies, trouvailles d’avant les gardes, normes, marques, réclames, nostalgies, marques, conformismes, modes, genres etc…
Pour elles et eux, il s’agit de se cultiver librement, tous ensemble, individuellement, vivants vibrants -et pas seulement de temps en temps- réflexes imagin’actifs instinctellectuels à l’œuvre, tout ce qui fait le suc de l’authenticité artistique engagée dans l’imaginaire, l’inventivité, la singularité, la particularité.
(B.Lubat)


47ème Hestejada de las arts

La Cie Lubat et ses artistes œuvriers associés ne perdent ni leur temps ni leur talent à la pro-duction de spectacles déclarés marchandisants télessivants ! Improètes distingués en libertés, esprits critiques en situation critique, ils risquent leur existence sur l’audacieux fil de l’inventé de l’exploré de l’expérimenté de l’exigé, minoritaires bien ou mal compris !

Expé’diction, explic’action export’action,

imagin’action improvision à l’œuvre…

Aucune ligne d’arrivée révélée-vendue/promise- à l’horizon.

Toujours de nouveaux commencements en pistes, sans peurs et sans reproches, réflexe poïélitique toujours intact, sans cesse recultivé, chaud bouillant, vital vivant vibrant, en tiers énergétique uz’esthétique.

«Transformation du souci en souci de la transformation»

et non pas non plus (comme il se doit dans la musique) à vendre

« transformation de six sons en soucis de six sous de saucisson ».

Citoyens d’art et d’essai, randonneurs d’alerte, alarme buissonnière fière altière en bandoulière. « Ce qu’on voulait faire c’est en le faisant qu’on le découvre ».

Jouer pour apprendre à jouer pour apprendre à vivre.

Art de la diffusion de l’art, en lieu et place des marchandages en diffusion de marchandises.

Il faudrait calmer ces marchandisances cu-culturelles d’enchanteurs « d’amour gloire et

chéquier », télé radio- actives, exploitants à grand bruit de la misère des autres.

Il faudrait laisser s’évaporer les nostalgies assourdissantes.

Il faudrait, il faudra, il faut… !?


Uzestival de printemps 2024

Quand le ConVersatoire d’Uzeste,
cette école musicale du rythme et de l’improvisation, change la donne, bouge les lignes, invite à l’invention !

Qui que nous soyons, quoi que nous pensons croyons vivons… ne nous laissons pas simplifier,enrégimenter, marchandiser.

Il s’agit de vivre à vivre et non pas non plus… d’être obligé d’avoir à se vendre pour survivre !

Vite… un printemps d’idées vives en jeu, pourtant aujourd’hui encore, si mal entendues… impression de tant d’idées reçues déçues ?

D’ici d’en Cie Lubat d’uzestusant selfs’pliquant… collectif d’artistisans œuvriers
s’imaginant s’inventant
turbulants pionniers jouant

avenir au présent… passé inclus… tout l’temps tout en résistance au désordre établi
du grand marché charmant !

Musicien.ne.s, comédien.ne.s, technicien.ne.s, toutes et tous en piste en scène, entremélimélomélés dans un processus singulier d’auto-éducation populaire décarboné décomplexé délibéré.

Bernard Lubat



Uzestival hivernal 2024 !

La Cie Lubat et ses artistes œuvriers associés ne perdent ni leur temps ni leur talent à la production de spectacles déclarés marchandisants télessivants ! Improètes distingués en libertés, esprits critiques en situation critique, ils risquent leur existence sur l’au- dacieux fil de l’inventé de l’exploré de l’expérimenté de l’exigé, minoritaires bien ou mal compris !

Expé’diction, expli’action export’action, imagin’action improvision à l’œuvre… Aucune ligne d’arrivée révélée -vendue/promise- à l’horizon. Toujours de nouveaux commencements en pistes, sans peurs et sans re- proches, réflexe poïélitique toujours intact, sans cesse recultivé, chaud bouillant, vital vivant vibrant, en tiers état énergétique uz’esthétique.

« Transformation du souci en souci de la transformation » et non pas non plus (comme il se doit dans la musique à vendre « transformation de six sons en soucis de six sous de saucisson ».

Citoyens d’art et d’essai, randonneurs d’alerte, alarme buissonnière fière altière en bandoulière.
« Ce qu’on voulait faire c’est en le faisant qu’on le découvre ».

Jouer pour apprendre à jouer pour apprendre à vivre.

Art de la diffusion de l’art, en lieu et place des marchandages en diffusion de marchandises.
Il faudrait calmer ces marchandisances cu-culturelles d’enchanteurs « d’amour gloire et chéquier », télé radio-actives, exploitants à grand bruit de la misère des autres. Il faudrait laisser s’évaporer les nostalgies assourdissantes. Il faudrait, il faudra, il faut… !?

Rien n’est vrai, tout est vivant

Edouard Glissant

L’art et l’argent : l’art des gens, l’art de faire des gens… de l’argent.

La majorité, cette lâcheté du nombre

Victor Hugo

Uzestival du nouvel an 2024

D’où vient le temps, ce temps d’avant, d’un ancien monde rural occitan (bi-lingue) agricole aujourd’hui disparu…

langues et musiques perdues ?

«Café l’Estaminet», maison fondée en 1937 café restaurant ouvrier dancing épicerie cinéma hôtel, véritable centre culturel avant la lettre en activité jusqu’en 1970, devenu ensuite Théâtre Amusicien l’Estaminet centre culturel de rencontre interdisciplinaire abritant inspirant les travaux de recherches et créations artistiques de la Cie Lubat de Jazzcogne et de l’association Uzeste Musical, ainsi que les créations d’artistes -autant locaux qu’internationaux- invités en résidence pour leur singularité créative.

Pour cette fin d’année 2023, un spécial accueil est proposé au musicien de jazz français François Corneloup (ancien acteur majeur de la Cie Lubat dans les années 80) pour sa création d’un grand orchestre réunissant une douzaine d’artistes professionnels dans la composition d’une partition intitulée « Bal du siècle ».

Elle sera donnée en grande première publique le samedi 30 décembre au Théâtre Amusicien l’Estaminet, mieux que jamais centre culturel de rencontre en milieu rural, ouvert aux projets de créateurs d’ici et d’ailleurs, novateurs, inventeurs, transformateurs…

Pour une politique d’éducation populaire : art de la diffusion de l’art, art de la rencontre avec l’art.

L’art à la portée de toutes les sources.

Bernard Lubat


Uzestival Automnal 2023

Après une 46e hestejada de las arts étourdissante questionnante insolente et rebondissante, poursuivre son chemin faisant, inventant cultivant éperdument toutes créativités transartistiques poïélitiquement vivante d’ici d’en bas en haut malgré cette opaque époque inique divertis- sante à mort quand il s’agit pour nous -les d’ici d’en tout l’temps- d’avertir… d’avertir encore… et encore… encore.

Désobéir à la fatigue d’obéir… Découvrir le plaisir de découvrir, juchés que nous sommes (en responsabilité joyeuse) debout sur les épaules de nos glorieux ainés, attelés à l’invention perpétuante d’un futur au présent… vivant. (Bernard Lubat)



Du 11 au 19 août 2023 : 46ème Hestejada de las arts

Une 46e d’Uz plongée dans la complexité-cécité surexcitée d’un réel actuel qui ne sait plus trop ce qu’il en sait ! Ce qu’il en fait ! D’une actualité boursouflée complotée court-circuitée… Du coup d’un coût, une 46e hestejada qui ne sait toujours pas comment taire ! Toute identité jazzconjuguée emboutie : qui est le commanditaire ? Festival ? Comme on dit ? De quoi, de qui ? Repaire de repérés… carrefour d’accidentés de parcours… élaboratoire transitoire… épicentre du monde local… Comment s’y retrouver sans s’y perdre ? Certains s’y sont d’’ailleurs disparus (victimes d’improvisions soutenues)

Billetterie en ligne :

Covoiturage

Bénévolat durant le festival


Et voici le programme en détail :


LES IMAGIN’ACTIONS ÉDUC’ACTIVES

Les Imagin’actions Educ’actives 2023

stages séjours et nuits manifestives

tous niveaux entremélimélomêlés un processus « initiacteur uzest’enjazzé »

imaginé par BERNARD LUBAT, conduit par les artistes œuvriers d’uzeste musical en cie luBat

Un concept qui s’articule autour de deux expressions, notions, pratiques fondamentales :

le rythme: moyen de transport (sens du dansant, du rebondi)

l’improvisation : passeport pour l’imaginaire (de l’inventivité, sens de la narration )

«  Essayer, rater, essayer encore, rater encore, rater mieux » Samuel Beckett

Étude, découverte de l’inconnu de (en) soi.

Pratique musicale instrumentale vocale, poétique verbale gestuelle plastique…



Uzestival de printemps 2023

La situation actuelle de la création artistique reste dans le flou «filon filou» politique niqué !? d’une société « capitulaliste », qui semble-t-il n’en a rien à secouer de cette façon d’exprimer la condition humaine, empêtrée qu’elle se trouve (?) dans sa « marchandisance » néolibérale « hysteristo- riciste» !! (et en couleur).

   Ceci étant dit par écrit ni par hasard… l’imaginaire n’attend que nous, citoyennes et citoyens, ému- lation, éducation, inspiration, émancipation : ap- prendre à désobéir à la fatigue d’obéir, désobéir à ce qui nous empêche de grandir de devenir. Déconstruire ce qui a une fâcheuse tendance à nous détruire ?

   « Qui veut jouer avec moi ? » dit l’enfant qui s’entraîne à se vivre avec… Apprendre à prendre, à se prendre en main, en face de face, de profil, apprendre à s’apprendre de l’autre, à jouer avec l’autre… et non pas non plus à se jouer de l’autre par concurrence rance en transe… imagique en diable !!

   D’ici d’en d’Uzestivals en Hestejadas nous nous occupons de ce qui nous regarde, de celles et ceux qui nous regardent : amis, ennemis, bénévoles mili- tants concernés indifférents, couillonnés, sachants, croyants, pratiquants, ignorants etc.

Rien ne sert de courir essoufflé… il faut mûrir à point nommé…

Temps long, temps lent à l’œuvre, laissons aller respirer la pensée…

Penser mondial… agir local

et ainsi d’en suite œuvrer « artistisanal »



Uzestival hivernal 2023

Un Uzestival hivernal encore et toujours consacré à cette passion coupable « d’artistisantiser » la vie… hors des sentiers rabâchés et autres appellations contrôlées. Le souffle intact d’une énergie créa- trice toujours nouvelle… et vieille comme le monde


Vendredi 17 février

21h – expression libre *

la valse des mots dits

Au parloir des choses à dire et à redire Du dire à lire… d’écrire à dire


samedi 18 février

21h – récital mosical *

les chansons enjazzées

de Bernard Lubat


Dimanche 19 février

16h – concert *

le piano récalcitrant

Musique nouvelle, musique à inventer, improvisée, composée sur place par deux artistes, musiciens œuvriers, François Rossé et Bernard Lubat.