Après les clameurs estivales de la 47e Hestejada de las arts, les œuvriers et œuvrières artistes et techniciens d’ici d’en Cie Lubat retrouvent leur élaboratoire « Théâtre amusicien l’Estaminet ».
Ils y poursuivent leurs travaux de recherche fondamentalement applicable : rêves éveillés en réalités mises à distance, énergies, trouvailles d’avant les gardes, normes, marques, réclames, nostalgies, marques, conformismes, modes, genres etc…
Pour elles et eux, il s’agit de se cultiver librement, tous ensemble, individuellement, vivants vibrants -et pas seulement de temps en temps- réflexes imagin’actifs instinctellectuels à l’œuvre, tout ce qui fait le suc de l’authenticité artistique engagée dans l’imaginaire, l’inventivité, la singularité, la particularité.
(B.Lubat)
Radio Uz 2024 !
47ème Hestejada de las arts
La Cie Lubat et ses artistes œuvriers associés ne perdent ni leur temps ni leur talent à la pro-duction de spectacles déclarés marchandisants télessivants ! Improètes distingués en libertés, esprits critiques en situation critique, ils risquent leur existence sur l’audacieux fil de l’inventé de l’exploré de l’expérimenté de l’exigé, minoritaires bien ou mal compris !
Expé’diction, explic’action export’action,
imagin’action improvision à l’œuvre…
Aucune ligne d’arrivée révélée-vendue/promise- à l’horizon.
Toujours de nouveaux commencements en pistes, sans peurs et sans reproches, réflexe poïélitique toujours intact, sans cesse recultivé, chaud bouillant, vital vivant vibrant, en tiers énergétique uz’esthétique.
«Transformation du souci en souci de la transformation»
et non pas non plus (comme il se doit dans la musique) à vendre
« transformation de six sons en soucis de six sous de saucisson ».
Citoyens d’art et d’essai, randonneurs d’alerte, alarme buissonnière fière altière en bandoulière. « Ce qu’on voulait faire c’est en le faisant qu’on le découvre ».
Jouer pour apprendre à jouer pour apprendre à vivre.
Art de la diffusion de l’art, en lieu et place des marchandages en diffusion de marchandises.
Il faudrait calmer ces marchandisances cu-culturelles d’enchanteurs « d’amour gloire et
chéquier », télé radio- actives, exploitants à grand bruit de la misère des autres.
Il faudrait laisser s’évaporer les nostalgies assourdissantes.
Il faudrait, il faudra, il faut… !?
Les imagin’actions éduc’actives 2024 !
Uzestival de printemps 2024
Quand le ConVersatoire d’Uzeste,
cette école musicale du rythme et de l’improvisation, change la donne, bouge les lignes, invite à l’invention !
Qui que nous soyons, quoi que nous pensons croyons vivons… ne nous laissons pas simplifier,enrégimenter, marchandiser.
Il s’agit de vivre à vivre et non pas non plus… d’être obligé d’avoir à se vendre pour survivre !
Vite… un printemps d’idées vives en jeu, pourtant aujourd’hui encore, si mal entendues… impression de tant d’idées reçues déçues ?
D’ici d’en Cie Lubat d’uzestusant selfs’pliquant… collectif d’artistisans œuvriers
s’imaginant s’inventant
turbulants pionniers jouant
avenir au présent… passé inclus… tout l’temps tout en résistance au désordre établi
du grand marché charmant !
Musicien.ne.s, comédien.ne.s, technicien.ne.s, toutes et tous en piste en scène, entremélimélomélés dans un processus singulier d’auto-éducation populaire décarboné décomplexé délibéré.
Bernard Lubat
Uzestival hivernal 2024 !
La Cie Lubat et ses artistes œuvriers associés ne perdent ni leur temps ni leur talent à la production de spectacles déclarés marchandisants télessivants ! Improètes distingués en libertés, esprits critiques en situation critique, ils risquent leur existence sur l’au- dacieux fil de l’inventé de l’exploré de l’expérimenté de l’exigé, minoritaires bien ou mal compris !
Expé’diction, expli’action export’action, imagin’action improvision à l’œuvre… Aucune ligne d’arrivée révélée -vendue/promise- à l’horizon. Toujours de nouveaux commencements en pistes, sans peurs et sans re- proches, réflexe poïélitique toujours intact, sans cesse recultivé, chaud bouillant, vital vivant vibrant, en tiers état énergétique uz’esthétique.
« Transformation du souci en souci de la transformation » et non pas non plus (comme il se doit dans la musique à vendre « transformation de six sons en soucis de six sous de saucisson ».
Citoyens d’art et d’essai, randonneurs d’alerte, alarme buissonnière fière altière en bandoulière.
« Ce qu’on voulait faire c’est en le faisant qu’on le découvre ».
Jouer pour apprendre à jouer pour apprendre à vivre.
Art de la diffusion de l’art, en lieu et place des marchandages en diffusion de marchandises.
Il faudrait calmer ces marchandisances cu-culturelles d’enchanteurs « d’amour gloire et chéquier », télé radio-actives, exploitants à grand bruit de la misère des autres. Il faudrait laisser s’évaporer les nostalgies assourdissantes. Il faudrait, il faudra, il faut… !?
Rien n’est vrai, tout est vivant
Edouard Glissant
L’art et l’argent : l’art des gens, l’art de faire des gens… de l’argent.
La majorité, cette lâcheté du nombre
Victor Hugo
Veilleurs Mieux 2024
Adhésions 2024
Uzeste Musical
Association qui s’engage depuis 47 ans dans un processus émancipateur et innovant
° en œuvrant, au niveau individuel et collectif, à l’émergence d’expressions di- verses participant à la diversité culturelle
° en renforçant les capacités de chacun à se confronter à la culture de l’autre et à dialoguer avec lui
° en montrant comment un héritage culturel peut être un terreau actif de formes nouvelles d’expression musicales verbales textuelles visuelles gestuelles théâ- trales plastiques pyrotechniques….
° en proposant une initiation à la pratique artistique (stages, séjours et nuits mani- festives : Les Imagin’actions éduc’actives) et en s’impliquant dans le champ édu- catif en partenariat avec les écoles de musique du territoire et les conservatoires de musique de la région Aquitaine.
° en cultivant des perspectives nouvelles vis à vis des populations régionales : formations professionnelles aux métiers du spectacle, artistes techniciens (éclai- ragistes, sonorisateurs, backliners) et administratifs
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Uzestival du nouvel an 2024
D’où vient le temps, ce temps d’avant, d’un ancien monde rural occitan (bi-lingue) agricole aujourd’hui disparu…
langues et musiques perdues ?
«Café l’Estaminet», maison fondée en 1937 café restaurant ouvrier dancing épicerie cinéma hôtel, véritable centre culturel avant la lettre en activité jusqu’en 1970, devenu ensuite Théâtre Amusicien l’Estaminet centre culturel de rencontre interdisciplinaire abritant inspirant les travaux de recherches et créations artistiques de la Cie Lubat de Jazzcogne et de l’association Uzeste Musical, ainsi que les créations d’artistes -autant locaux qu’internationaux- invités en résidence pour leur singularité créative.
Pour cette fin d’année 2023, un spécial accueil est proposé au musicien de jazz français François Corneloup (ancien acteur majeur de la Cie Lubat dans les années 80) pour sa création d’un grand orchestre réunissant une douzaine d’artistes professionnels dans la composition d’une partition intitulée « Bal du siècle ».
Elle sera donnée en grande première publique le samedi 30 décembre au Théâtre Amusicien l’Estaminet, mieux que jamais centre culturel de rencontre en milieu rural, ouvert aux projets de créateurs d’ici et d’ailleurs, novateurs, inventeurs, transformateurs…
Pour une politique d’éducation populaire : art de la diffusion de l’art, art de la rencontre avec l’art.
L’art à la portée de toutes les sources.
Bernard Lubat
Uzestival Automnal 2023
Après une 46e hestejada de las arts étourdissante questionnante insolente et rebondissante, poursuivre son chemin faisant, inventant cultivant éperdument toutes créativités transartistiques poïélitiquement vivante d’ici d’en bas en haut malgré cette opaque époque inique divertis- sante à mort quand il s’agit pour nous -les d’ici d’en tout l’temps- d’avertir… d’avertir encore… et encore… encore.
Désobéir à la fatigue d’obéir… Découvrir le plaisir de découvrir, juchés que nous sommes (en responsabilité joyeuse) debout sur les épaules de nos glorieux ainés, attelés à l’invention perpétuante d’un futur au présent… vivant. (Bernard Lubat)