Après une 46e hestejada de las arts étourdissante questionnante insolente et rebondissante, poursuivre son chemin faisant, inventant cultivant éperdument toutes créativités transartistiques poïélitiquement vivante d’ici d’en bas en haut malgré cette opaque époque inique divertis- sante à mort quand il s’agit pour nous -les d’ici d’en tout l’temps- d’avertir… d’avertir encore… et encore… encore.
Désobéir à la fatigue d’obéir… Découvrir le plaisir de découvrir, juchés que nous sommes (en responsabilité joyeuse) debout sur les épaules de nos glorieux ainés, attelés à l’invention perpétuante d’un futur au présent… vivant. (Bernard Lubat)