Quand le ConVersatoire d’Uzeste,
cette école musicale du rythme et de l’improvisation, change la donne, bouge les lignes, invite à l’invention !
Qui que nous soyons, quoi que nous pensons croyons vivons… ne nous laissons pas simplifier,enrégimenter, marchandiser.
Il s’agit de vivre à vivre et non pas non plus… d’être obligé d’avoir à se vendre pour survivre !
Vite… un printemps d’idées vives en jeu, pourtant aujourd’hui encore, si mal entendues… impression de tant d’idées reçues déçues ?
D’ici d’en Cie Lubat d’uzestusant selfs’pliquant… collectif d’artistisans œuvriers
s’imaginant s’inventant
turbulants pionniers jouant
avenir au présent… passé inclus… tout l’temps tout en résistance au désordre établi
du grand marché charmant !
Musicien.ne.s, comédien.ne.s, technicien.ne.s, toutes et tous en piste en scène, entremélimélomélés dans un processus singulier d’auto-éducation populaire décarboné décomplexé délibéré.
Bernard Lubat