« Tous ensemble ce n’est pas être tous pareils et tous différents ce n’est pas être tous séparés » Bernard Lubat
À Uzeste
10h Espace NVO – Communication débat
Les hommes, sujets et acteurs de l’égalité professionnelle
En présence de Sia Anagnostopoulou (professeure à l’université Pantéios d’Athènes) de François Fatoux délégué général de l’ORSE (Observatoire sur la Responsabilité Sociale des Entreprises), Véronique Millet et Lydie Delmas (commission femmes et mixité de l’Union départementale CGT)
[dropdown_box expand_text= »d’information » show_more= »Plus » show_less= »Réduire » start= »hide »]Il semble qu’en temps de crise, la réalisation du principe d’égalité entre les femmes et les hommes soit considérée comme un luxe qui ne peut être assumé ni par les politiques publiques ni par les entreprises privées. L’Observatoire sur la Responsabilité Sociale des Entreprises donne à voir comment les hommes pourraient déconstruire le carcan de la domination, l’injonction à la virilité.
Débat animé par Marcel Trillat (journaliste réalisateur)[/dropdown_box]
11h Salle des fêtes – Projection en partenariat avec Artistes et associés
La bande anonyme
14min, 2007, Oz Da Trau, réalisé par Sarah Millot.
[dropdown_box expand_text= »d’information » show_more= »Plus » show_less= »Réduire » start= »hide »] »La première des trois formes de société dont se détache, comme d’un arrière-plan sombre et primitif, notre société basée sur l’amitié personnelle et l’amour, est ce qu’on appelle la bande anonyme. Elle apparaît chez de nombreux invertébrés comme les seiches et les insectes, et même l’homme peut, dans certaines conditions déterminées, retomber en panique à l’état de la bande anonyme et ainsi régresser. » Konrad Lorenz[/dropdown_box]
I’ll be your mirror
50min, 2012, Oz Da Traum, réalisé par Sarah Millot.
[dropdown_box expand_text= »d’information » show_more= »Plus » show_less= »Réduire » start= »hide »]Nous sommes en avant tout à fait comme cela. De bénisseuses nostalgies. C’est au loin, dans des arrières-plans éclatants, qu’ont lieu nos épanouissements. C’est là que sont mouvement et volonté. C’est là que se situent les histoires dont nous sommes des titres obscurs. C’est là qu’ont lieu nos accords, nos adieux, consolation et deuil. C’est là que nous sommes, alors qu’au premier plan nous allons et venons.[/dropdown_box]
Projections en présence de la réalisatrice
11h Parc Seguin – Spectacle pour petits et grands enfants
Conte sur nous (2)
De et par Tanguy Bernard et Jaime Chao
[dropdown_box expand_text= »d’information » show_more= »Plus » show_less= »Réduire » start= »hide »]Une paire de trouvères offre à voir une odyssée fantastique. Ils se jouent d’un conte à tiroirs où les histoires s’imbriquent les unes aux autres jusqu’à en perdre le compte. On ne tourne plus les pages, on se met à la page ! On observe le conte retrouver sa dimension orale, musicale et même improvisée.
Puisant librement parmi des textes et poèmes, de la musique rythmée ou libre, ce spectacle prend la forme du conte dans sa dimension universelle, s’adressant à toutes les générations et se prêtant bien au jeu du grand écart entre tradition et improvisation. Ils content sur eux et comptent sur vous. Un rendez-vous sans garde à vous : Conte sur nous ![/dropdown_box]
11h Grange Chao – Performance
Jam O’Max (3)
L’ordinateur improvisateur rencontre l’expérimentateur du jour
Benjamin Levy (ordinateurs)
12h Espace NVO – Apéro fanfare
The krakens
The Krakens c’est une fanfare… [dropdown_box expand_text= »d’information » show_more= »Plus » show_less= »Réduire » start= »hide »]Mais c’est avant tout une aventure humaine : 7 musiciens chevronnés réunis par leur désir de jouer ensemble. La fanfare Krakens, dont les membres adorent la mer, tire son nom de monstres marins aux maintes tentacules, issus de légendes scandinaves. Originaire de Paris et ses environs, la fanfare Krakens est née de la réussite d’une sauce onctueuse composée d’un bon gros groove des abysses, d’une poignée de sonorités jazz et d’une pincée de folie aux saveurs d’afrobeat. Le résultat est convaincant, précis, 100% énergétique et surtout extrêmement fédérateur : The Krakens sèment la danse, la fête et la bonne humeur partout où ils laissent traîner leurs tentacules ![/dropdown_box]
14h Parc Seguin – Communication débat
L’appel des appels swingue à Uzeste
Demain, lorsque la normalisation des conduites et des métiers régnera définitivement, il sera trop tard. [dropdown_box expand_text= »d’information » show_more= »Plus » show_less= »Réduire » start= »hide »]Soin, éducation, recherche, justice seront formatés par la politique du chiffre et la concurrence de tous contre tous. Il ne restera plus à l’information, à l’art et à la culture qu’à se faire les accessoires d’une fabrique de l’opinion pour un citoyen consommateur. Face à de prétendues réformes aux conséquences désastreuses, les contributeurs, psychanalystes, enseignants, médecins, psychologues, chercheurs, artistes, journalistes, magistrats, dressent l’état des lieux depuis leur cœur de métier et combattent la course à la performance qui exige leur soumission et augure d’une forme nouvelle de barbarie. L’Appel des appels prône le rassemblement des forces sociales et culturelles. Il invite à parler d’une seule voix pour s’opposer à la transformation de l’État en entreprise, au saccage des services publics et à la destruction des valeurs de solidarité humaine, de liberté intellectuelle et de justice sociale. Il témoigne qu’un futur est possible pour l’humanité dans l’homme. Il est encore temps d’agir. L’insurrection des consciences est là, partout, diffuse, grosse de colère et de chagrin. La résistance de ces milliers de professionnels et de citoyens qui ont répondu à L’Appel des appels touche nos sociétés normalisées en un point stratégique. En refusant de devenir les agents du contrôle social des individus et des populations, en refusant de se transformer en gentils accompagnateurs de ce nouveau capitalisme, nous appelons à reconquérir l’espace démocratique de la parole et de la responsabilité.
Première partie : Éducation, santé, justice et émancipation
Du cœur de nos métiers nous disons non à la normalisation de droite comme de gauche
Deuxième partie : Le retour des lucioles ? Culture, journalisme, politique et détournements[/dropdown_box]
Roland Gori (psychanalyste, professeur émérite à l’université Aix-Marseille, initiateur de l’appel des appels) Michel Blay (Philosophe et historien des sciences, CNRS) Michelle Gally (professeure et maître de conférence de langue et littérature médiévale, université Aix-Marseille) Bruno Chaudret (professeur de chimie à l’université de Toulouse, membre de l’académie des sciences) Marie-José Del Bolgo (médecin maître de conférence à l’université Aix-Marseille, praticienne hospitalier, Marseille) Patrick Geffard (maître de conférence en sciences de l’éducation, université Paris VIII) Nicolas Roméas (Rédacteur en chef de la revue Cassandre/Hors Champ) Charles silvestre (journaliste au journal L’Humanité) Jean-Paul Rathier (metteur en scène) Michel Rigoulet (directeur de recherche en sciences du vivant au CNRS) Stéphane Ambry (avocat, Bordeaux) Christophe Hutin (architecte, professeur à l’ENSA Toulouse)
15h Théâtre Amusicien l’Estaminet – Chansons dérangées
Duo free songs
Claire Bellamy (contrebasse et musiques) Juliette Kapla (voix et textes)
[dropdown_box expand_text= »d’information » show_more= »Plus » show_less= »Réduire » start= »hide »]Le duo tonique et iconoclaste revient à Uzeste, où il a fourbi ses premières armes, connu ses premières rames et ravi ses premières âmes ; plus libre et pétillant que jamais, nourrissant les chansons du sang et du sens frais de leurs nouvelles inventions.
Ce nouveau spectacle de Free-Songs mêle improvisation et écriture ciselée, avec un goût prononcé pour l’exploration musicale et un sens de la scène chevillé au corps.[/dropdown_box]
15h Salle des fêtes – Projection (52m)
Lenga d’amor
Film documentaire écrit et réalisé par Patrick Lavaud, mis en image par Jean-François Hautin
[dropdown_box expand_text= »d’information » show_more= »Plus » show_less= »Réduire » start= »hide »]« Aucune langue dans le monde ne mérite de disparaître. Une langue est l’expression d’une culture, d’une manière de vivre et de penser ». Fervent défenseur de la diversité linguistique, Patrick Lavaud, le directeur des Nuits Atypiques de Langon et du Forum des langues de France, est un amoureux de la langue occitane : « Quand j’étais enfant, j’allais souvent dans la ferme de mes grands-parents dans le nord du Périgord et je les entendais toujours parler en occitan. Ils le parlaient entre eux, avec mon père, en famille, avec les voisins, les amis, les bêtes. Et j’aime cette idée que l’occitan a été la langue dans laquelle ils se sont aimés, leur langue d’amour ».
À partir de ses souvenirs d’enfant, Patrick Lavaud nous convie à une découverte sensible de la langue et de la culture occitanes, d’hier et d’aujourd’hui. Au fil de ses rencontres avec des personnages émouvants et chaleureux, il nous transmet sa passion de cette langue et nous guide sur les chemins de la tradition orale et de la culture populaire, de la toponymie et de la signalisation bilingue, du conte et de la création littéraire, de l’enseignement et de l’avenir de la langue. L’expérience personnelle devient mémoire collective et la langue occitane révèle sa part d’humanité.
Cet hommage à la langue d’Oc est aussi une réflexion sur la façon dont sont traitées en France les langues « périphériques ». Alors que l’article 75-1 de la Constitution française affirme, depuis juillet 2008, que « les langues régionales appartiennent au patrimoine de la France », les récentes orientations du gouvernement (renoncement à ratifier la Charte européenne des langues régionales et minoritaires et absence d’une prise en compte réelle des langues régionales dans le projet de loi d’orientation et de programmation pour la refondation de l’école de la République) semblent prolonger cette tradition française multiséculaire d’unification et de répression linguistiques.
Projection suivie d’une rencontre avec Patrick Lavaud, le réalisateur[/dropdown_box]
16h Menuiserie – Concert
Duo d’Uz
Thomas Boudé (guitare) Louis Lubat (batterie)
[dropdown_box expand_text= »d’information » show_more= »Plus » show_less= »Réduire » start= »hide »]Deux solitudes qui se confrontent, ça donne quoi ? Pour ces deux là, en tout cas, il sort des choses bien étranges de la mêlée : rock, free, polka, punk, jazz, mazurka entre tous autres genres. L’esthétique n’est pas la question. L’engagement et l’énergie du saut dans le vide de l’improvisation est plus important pour ses deux jeunes amusiciens décidés à aller chercher leur singularité, et puis aussi, il faut bien l’avouer, à se marrer un coup.[/dropdown_box]
16h30 Salle des fêtes – Conférence
Jazz et Bande dessinée (2)
Pierre Henri Ardonceau (critique musical à Jazz Magazine/Jazzmag)
[dropdown_box expand_text= »d’information » show_more= »Plus » show_less= »Réduire » start= »hide »]Jazz et BD sont nés au XXème siècle. Comme le cinéma. Mêmes destins : considérés à leur naissance comme des arts mineurs par les conservateurs de tous poils. BD : distraction débile pour les cancres.
Jazz : musique de sauvages écoutée par des dégénérés. Cinéma : attraction pour fêtes foraines. Tous devenus arts créatifs majeurs à l’issue de longs et lents processus de légitimation… Ces 3 arts entretiennent des relations multiformes… Le Jazz et la BD forment un couple relativement méconnu…
Adultérin, légitime, ancillaire ? Quoiqu’il en soit… Ils ont eu de nombreux « enfants ». Un diaporama numérique d’environ 90 minutes en présentera quelques uns…[/dropdown_box]
17h Kestion d’éthique – Improvisation orale
Meeting poétique (2)
Méryl Marchetti (verbe) Tanguy Bernard (hélicon) Jaime Chao (verbe et guitare)
17h Espace GFEN
Lectures vives
[dropdown_box expand_text= »d’information » show_more= »Plus » show_less= »Réduire » start= »hide »]Le GFEN dévoile les Éditions Cocagne (3) qui lisent des textes de Félix Castan et Olympe de Gouges avec Béatrice Daël directrice des éditions, Monique Burg comédienne et conteuse, Anne Castan poète, et Philippe Sahuc, comédien[/dropdown_box]
17h Grange Vieira – Concer
Les bruits de la rue (2)
Pierre Lambla (saxophone) Armel Malonga (basse)
17h Théâtre Amusicien l’Estaminet – Conférence
La rage selon PPP
Troisième causerie de Georges Didi-Huberman
[dropdown_box expand_text= »d’information » show_more= »Plus » show_less= »Réduire » start= »hide »]PPP, pour invoquer Pier Paolo Pasolini, poète et cinéaste. PPP, pour suggérer, comme écrivent les Italiens en abrégé, le primissimo piano ou « gros plan » cinématographique, façon de nous inviter à nous rapprocher des images. PPP, enfin, pour interroger la façon dont Pasolini, dans son extraordinaire film de montage documentaire intitulé La Rabbia (« La Rage », 1963) entrelace le pathétique avec le politique et tout cela avec quelque chose qu’il nomme lui-même le poétique. Et donc posons-nous ces questions : qu’est-ce que les montages de Pasolini font avec le pathos ? Qu’est-ce qu’ils disent de notre histoire politique ? En quoi forment-ils de véritables poèmes visuels et sonores ? Et pourquoi fallait-il faire une musique de tout cela ensemble ?[/dropdown_box]
18h30 Parc Seguin – Conférence débat
À propos du Front national
Bernard Stiegler[dropdown_box expand_text= »d’information » show_more= »Plus » show_less= »Réduire » start= »hide »] (philosophe, initiateur et président du groupe de réflexion philosophique Ars industrialis créé en 2005, il dirige également depuis avril 2006 l’Institut de Recherche et d’Innovation (IRI) qu’il a créé au sein du centre Georges-Pompidou)
Dans son dernier ouvrage, Pharmacologie du Front national, il établit un lien entre la montée du parti des Le Pen et ce qu’il nomme « la destruction de l’attention » par le marketing et la société de consommation. Avec son collectif Ars Industrialis, il propose la mise en place d’une politique qui fasse appel à l’intelligence des gens.[/dropdown_box]
18h30 Place de la collégiale – Radio Uz
Émission en direct et en public
Animée par Antoine Chao et les journalistes de Radio Uz
18h30 Espace GFEN
Le Gueuloir
[dropdown_box expand_text= »d’information » show_more= »Plus » show_less= »Réduire » start= »hide »]Le public d’Uzeste est un drôle de zèbre : il écoute en blanc, et il a envie de créer en noir. Il applaudit mais il se sert aussi de ses mains pour écrire. Il ne se tient pas en place : au Gueuloir il est assis et hop ! il saute sur le micro sans crier gare. Si tous les festivals avaient un tel public ce serait ingérable ! [/dropdown_box]Invitées de la fin Stéphanie Fouquet (O Débit-Solicendristes) et Patricia Cros (Encres Vives)
19h Espace CCAS – Performance
« La musée » le musée d’un autre genre
Vernissage de l’œuvre du jour avec Jaime Chao (porte-voix) et Mathieu Lebrun (saxophone)
[dropdown_box expand_text= »d’information » show_more= »Plus » show_less= »Réduire » start= »hide »]Ce que vous ne verrez jamais (la salière d’Ernest-Antoine) et ce que vous ne verrez plus (un compteur EDF datant du service public). Comme toute espèce disparue ou en voie de l’être, l’ouvrier à maintenant, sa galerie, son musée : La Musée ainsi nommé en hommage à Piotr Kowalsky, mineur lorrain d’origine polonaise, pour ne pas dire douteuse, qui aimait commencer la journée par ce bon mot : On n’est pas là pour l’amuser, la galerie ! Insolite, iconoclaste et décalé ce pittoresque espace culturel vous invite à déambuler parmi ses découvertes et ses trésors. Ouvert sur le monde et, comme lui, en perpétuelle mutation ce lieu interactif et spirituel, vous invite à la méditation. Enfin un bon plan social ![/dropdown_box]
19h30 Espace NVO – Lecture
La cinquième saison d’Anny (4)
[dropdown_box expand_text= »d’information » show_more= »Plus » show_less= »Réduire » start= »hide »]Du mercredi 21 au samedi 24 août sur le stand NVO, avant l’apéro swing, lecture par des artistes d’extraits du livre d’Anny Gleyroux, La cinquième saison. Militante CGT, militante de la culture, féministe, souriante pas complaisante, tenace et irritante, humaniste, tenante du débat contradictoire, Anny a joué en 2012 sa dernière saison de l’Hestejada d’Uzeste.[/dropdown_box]
20h Salle des fêtes – Spectacle
Abeced’erre et cinéma (3)
De et par André Minvielle (vocalchimiste déterritorialisateur)
[dropdown_box expand_text= »d’information » show_more= »Plus » show_less= »Réduire » start= »hide »]Un itinéraire alphabétique en trois étapes. Lors du festival 2011, le premier volet, de A à I, d’Accent à Improvisation, était nourri en majeure partie d’extraits du travail du cinéaste ethnologue Jean Rouch. Dans le deuxième volet, de J à R, il poursuit son dialogue, en chants contrechamps, avec les images, les sons, les mots et les voix de cinéastes français. J et R comme le jeu et la règle de Jean Renoir. Un troisième volet surprise, cette année pour clore cet abeced’erre. Minvielle met l’accent sur des images qu’il recompose au sens musical du terme. Il est accompagné de Jean-François Cazeaux, commentateur, passeur et d’Arno Tartary, régisseur/éclaireur de la première heure. Avec la participation de Bernard Semejian, ce projet bénéficie d’un partenariat avec le rectorat de Bordeaux et du soutien de la DRAC. [/dropdown_box]
20h Théâtre Amusicien l’Estaminet – Concert
Trio à lunettes
Léo Jassef (piano) Théo Lanau (batterie) Quentin Biardeau (saxophone)
[dropdown_box expand_text= »d’information » show_more= »Plus » show_less= »Réduire » start= »hide »]C’est d’abord la rencontre entre trois jeunes musiciens français aux parcours et aux influences multiples. Ils ont fait le choix d’explorer les chemins de la musique improvisée à partir de compositions originales marquées par la musique du XXème. Utilisant la formule singulière du trio sans basse, le groupe modèle les couleurs, les formes et les combinaisons de timbres insolites.[/dropdown_box]
20h Espace NVO / Bibliobus du CE des cheminots – Apéro du quart de siècle
Les 25 ans de la CGT à Uzeste
22h Chapiteau Alban Lubat – Manifeste leste
La nuit des amusicien-ne-s ou « l’origine est devant nous »
Une a-présentation jazzconjuguée par la Cie Lubat à partir d’une lubatterie soli solo saga ou l’histoire d’un idiot coupable d’improvisions d’erreurs, farci d’un inénarrable optimisme, dopé par l’indignation d’une jeunesse exaltée enjazzée…. Incroyable mais frais !
[dropdown_box expand_text= »d’information » show_more= »Plus » show_less= »Réduire » start= »hide »]S’amuser d’achever cette 36e Hestejada de las arts dans le désordre poïélitique d’un final en plein commencement. Artistes, funambules sur le fil de l’inconnu, nus, solitudes solidaires, à l’énergie de s’augmenter, dans le refus de se laisser simplifier, libres responsables entiers.
Fabrice Vieira (chant, guitare, ordinateur) Louis Lubat (batterie, verbe) Thomas Boudé (guitare, geste) Jules Rousseau (basse, verbe) Tanguy Bernard (chant, hélicon) Raphaëlle Camus (danse) Margot Auzier (micro-pyrotechnie) Michel Macias (accordéon, chant) Juliette Kapla (chant) Mathis Pollack, Matthieu Lebrun, Pierre Lambla (saxophones) Jaime Chao (slam) Quentin Gomari, Paolo Chatet (trompette) Jérémie Piazza, Simon Lacouture, Fawzi Berger (batterie) Paul Armandy (contrebasse) Léo Rathier (guitare) Isabelle Loubère (verbe) Claire Bellamy (contrebasse)
Transartisticités uzestiennes en imaginaire jazzconcubin, là où les identités multiples s’affranchissent des identités uniques.
« Penser hors du possible, c’est penser l’inédit, l’inouï -ce que toute existence porte avec elle- et qui pourtant n’est jamais donné, déposé, que ce soit pour être conservé ou pour être réformé. Le monde n’est pas à changer : il est à créer » Jean-Luc Nancy[/dropdown_box]
01h Théâtre Amusicien l’Estaminet – dancing live remix
Jazzbal gasconcubin
02h Kestion d’éthique
Descargade finale
Billetterie : Billet à la journée Tarif plein : 25 €, tarif réduit : 20 €