Guitariste

Jeudi 22 août à Uzeste

« Penser c’est ré-apprendre à voir, à être attentif, c’est diriger sa conscience. C’est faire de chaque idée et de chaque image un lien privilégié » Albert Camus

À Uzeste

7h15 Chêneraie Lacape – performance

Alba (1)

Fawzi Berger (percussions) Sébastien Pallis (accordéon) Raphaëlle Camus (danse contemporaine) Sylvain Roux (fifre)
[dropdown_box expand_text= »d’information » show_more= »Plus » show_less= »Réduire » start= »hide »]Prose dansée au soleil levant entre chênes et fougères, une musique qui s’invente dans l’instant parmi les chants d’oiseaux et artistes de l’aurore.[/dropdown_box]

10h Lavoir communal – Table ronde

L’improvisation en question : de quoi est-elle le non ? Le oui ?

Francis Marmande (écrivain, critique d’art) Fabien Barontini (directeur du festival Sons d’hiver) Fabrice Vieira, Louis Lubat, Beñat Achiary, André Minvielle, Raphaël Quenehen, Michel Ducom, Hamid Ben-Mahi (artistes) Bernard Lubat (ambianceur)
En préambule aux « États généreux de l’improvisation » dont le lancement aura lieu en novembre prochain à l’Auditorium de Bordeaux sous l’égide de l’OARA.

11h Grange Chao  – Performance

Jam O’Max (1)

L’ordinateur improvisateur rencontre l’expérimentateur du jour
Benjamin Levy, Jaime Chao (ordinateurs)

11h Théâtre Amusicien l’Estaminet – Conférence

Voleurs de feu

Par Pascale Ratovonony (historienne de l’art, professeure à l’ESA des Rocailles, Biarritz)
Quel miracle attendre des armes dérobées à l’oppresseur ? Au même titre que la littérature, l’art appartient aux « armes miraculeuses » célébrées par Césaire -de puissants instruments d’émancipation qui peuvent se retourner contre ceux qui les manipulent. Les passes d’armes, parfois meurtrières, de L. S. Senghor, Aimé Césaire, Frantz Fanon, Sembene Ousmane et Wifredo Lam, permettent un autre regard sur le corps à corps de l’art de la polititque.

11h Salle des fêtes – Projection

Une proposition de la NVO CGT et d’Uzeste Musical

Tête haute (2)

Un film de Yves Gaonac’h
Tête haute est l’histoire d’une lutte victorieuse dans l’industrie automobile !
[dropdown_box expand_text= »d’information » show_more= »Plus » show_less= »Réduire » start= »hide »]Des ouvriers font face à un patron leur proposant moins 25% de salaire, et obligent Renault, leur donneur d’ordre, à prendre ses responsabilités. Le film montre des femmes, des hommes, leur savoir-faire et leur solidarité, pendant 8 mois de lutte. La reprise des Fonderies du Poitou, avec le slogan « Vous êtes formidables ! » délivre un message d’espoir et d’avenir.
« Je suis du Poitou. Quand j’ai entendu parler de ce conflit, j’ai voulu faire face à ma propre résignation face aux plans sociaux dans l’industrie, et j’ai tourné en urgence. J’ai découvert des fondeuses et des fondeurs dignes, et prêts à défendre la viabilité de leur site. Leur mouvement m’a impressionné par l’engouement qu’il a suscité sur le territoire, avec la presse, politiques, commerçants, banquiers… Et les questions sur l’industrie qu’il posait à notre pays. J’ai essayé de les suivre jusqu’à leur retour au travail et la reprise des fonderies » Yves Gaonac’h[/dropdown_box]

12h Espace NVO – Apéro impro

Rouen t’en plan project : « Mingus in the air »

Les amis normands avec nous

14h Salle des fêtes – Projection en partenariat avec Artistes & Associés

Dancing Voice, Singing Body

26min, 2005, Artistes & Associé. En présence de la réalisatrice Sarah Millot

[dropdown_box expand_text= »d’information » show_more= »Plus » show_less= »Réduire » start= »hide »]Aux côtés de John Cage, Meredith Monk a été une des instigatrices aux États-Unis du mouvement d’abstraction musicale et vocale, qui puise son inspiration dans la danse et la performance. Elle a élaboré au fil de son travail, son propre vocabulaire, à partir du souffle, du rythme, de la texture et des images de la voix.[/dropdown_box]

De ce monde nous ne pouvons tomber,

20min, 2010, Artistes & Associés. En présence de la réalisatrice Sarah Millot

Les corps trébuchent, le sol se dérobe. Erna Omarsdottir danse.

14h Menuiserie – Concert

spectacle payantLes bruits de la rue (1)

Pierre Lambla (saxophone) Armel Malonga (basse)

[dropdown_box expand_text= »d’information » show_more= »Plus » show_less= »Réduire » start= »hide »]Avant de définir un style musical, le mot jazz était un vocable de la Nouvelle-Orléans qui signifiait : ce petit quelque chose d’imprévisible que l’on fait pour se faire remarquer – détail vestimentaire, élocution chantante, petit entrechat dans la rue ; puis évidemment une fois la musique jazz apparue toutes ces phrases musicales qui déboulent en jam session sans que personne ait pu les prévoir et qui font grogner de plaisir toute l’assemblée – public et musiciens réunis. Dans le même ordre d’idée Steve Lacy disait volontiers : le jazz c’est ce que je n’ai jamais entendu ! Ce petit pas de côté, cette recherche perpétuelle est bien ce qui relie fondamentalement Pierre et Armel. Bien sûr, avant leur rencontre cette exigence a poussé en parallèle sur deux terreaux géographiques et culturels très différents : celui verdoyant des musiques traditionnelles et dansantes du Congo pour Armel, celui plus grisonnant des musiques expérimentales improvisées pour Pierre. La musique a cependant opéré son miracle ordinaire dés qu’ils ont commencé à jouer ensemble, emportant dans son souffle toutes les différences qu’il pourrait y avoir entre danse et équilibrisme. Forts de cette euphorisante rencontre, les deux musiciens ont décidé de partager les périls du duo en se fabriquant un répertoire qui mélange quelques merveilleux standards du jazz de leurs augustes aînés comme terrain neutre de leur expression commune, mais aussi bien sûr en tissant ensemble des compositions originales à partir de toutes leurs influences.[/dropdown_box]

14h Parc Seguin – Conférence débat

La fabrique des imposteurs

Roland Gori (psychanalyste à Marseille et professeur de psychologie et de psychopathologie cliniques, initiateur de l’Appel des appels)
[dropdown_box expand_text= »d’information » show_more= »Plus » show_less= »Réduire » start= »hide »]Roland Gori choisit un éclairage croisé de la psychanalyse et de la politique pour montrer que les civilisations comme les hommes peuvent souffrir de traumatismes. La sidération que de tels traumatismes produisent conduit bien souvent à la solution de l’imposture et aux faux-semblants de l’adaptation  caméléon. À moins que la culture et le rêve ne s’en mêlent, bougeant les lignes et les frontières, les fonctions définies et les règles établies, ils rendent possibles l’expérience et sa transmission, et restituent aux humains le pluriel singulier d’un monde commun.[/dropdown_box]

15h Théâtre Amusicien l’Estaminet – Théâtre

spectacle payantLa Chanson du Mal-Aimé de Guillaume Apollinaire (2)

Spectacle poétique interprété par Christophe Boudé et composé en amont et au présent par Florian Harribey (piano, claviers, machines et autres…)
[dropdown_box expand_text= »d’information » show_more= »Plus » show_less= »Réduire » start= »hide »]Alcools, 1903, un soir de demi-brume à Londres les Cosaques Zaporogues répondent à la lueur d’une chandelle à Paul Léothaud, le Grand Sultan de Constantinople : « Groin de cochon cul de jument Tes richesses garde-les toutes Pour payer tes médicaments… Les démons du hasard selon Le chant du firmament nous mènent A sons perdus leurs violons Font danser notre race humaine Sur la descente à reculons… Soirs de Paris ivres du gin Flambant de l’électricité Les tramways feux verts sur l’échine Musiquent au long des portées De rails leur folie de machines Les cafés gonflés de fumée Crient tout l’amour de leurs tziganes De tous leurs siphons enrhumés De leurs garçons vêtus d’un pagne Vers toi toi que j’ai tant aimé Moi qui sais des lais pour les reines Les complaintes de mes années Des hymnes d’esclave aux murènes La romance du mal aimé Et des chansons pour les sirènes »[/dropdown_box]

16h Menuiserie – Concert

N’so

Gabriel Pierre (contrebasse) Brice Mata (saxophone) Léo Rathier (guitare) Tom Peyron (batterie)

16h Gange Vieira – Concert

Julia et sa contrebasse CHANTent

Julia Robin (contrebasse, chant)

[dropdown_box expand_text= »d’information » show_more= »Plus » show_less= »Réduire » start= »hide »]Portée par des mots et des mélodies écrits par d’autres vies, elle renvoie l’écho de ces chansons qui n’appartiennent plus à personne et dont chacun se saisit. Ces standards, Julia Robin s’en est emparée dans la pop anglaise, la folk américaine ou la musique bretonne. Soutenue par les lignes de sa contrebasse, elle les apporte à qui veut les entendre.[/dropdown_box]

16h Salle des fêtes – Projection (119 mn) débat

Notre Monde, un film de Thomas Lacoste

Rassemblant plus de 35 intervenants, philosophes, sociologues, économistes, magistrats, médecins, universitaires et écrivains, Notre Monde propose un espace d’expression pour travailler, comme nous y enjoint Jean–Luc Nancy à une pensée commune. [dropdown_box expand_text= »d’information » show_more= »Plus » show_less= »Réduire » start= »hide »]Plus encore qu’un libre espace de parole, Notre Monde s’appuie sur un ensemble foisonnant de propositions concrètes pour agir comme un rappel essentiel, individuel et collectif : « faites de la politique » et de préférence autrement.
Thomas Lacoste, initiateur de L’Autre Campagne parallèle à la campagne présidentielle de 2007, auteur des entretiens Penser critique, kit de survie éthique et politique pour situations de crise(s) (47 films, 24h, éditions Montparnasse, 2012), nous offre ici une grande respiration, comme un temps de pause, face au rythme haletant de la vie politique[/dropdown_box]

16h Espace GFEN

Lectures vives

[dropdown_box expand_text= »d’information » show_more= »Plus » show_less= »Réduire » start= »hide »]Le GFEN dévoile les Éditions Cocagne (1) qui lisent des textes de Félix Castan et Olympe de Gouges avec Béatrice Daël directrice des Éditions, Monique Burg comédienne et conteuse, Anne Castan, poète, et Philippe Sahuc comédien[/dropdown_box]

16h Kestion d’éthique  –  Concert

Les enfances de l’art

Merlin Chao (trompette) Antonin (clarinette) Léonard Fouquet (saxophone) Charlie Drouillard (batterie)

17h Théâtre Amusicien l’Estaminet  – Spectacle

spectacle payantSolis solos

Qui Vieira verra : Le populaire c’est quoi ? C’est à qui ? C’est cuit, c’est du tout cuit ? Tiens, moi aussi je serai populaire ! Qui viendra verra, qui verra Vieira ? de Fabrice Vieira (guitare voix)
Soli d’air pur de Quentin Ghomari (trompette)
Trans’atlantique en soli d’air de Raphaël Quenehen (saxophone)
Batterie et textes en liberté de Fabien Rimbaud (batterie, voix)

17h Tonnelle Café du sport – Spectacle

Fresques et pittoresques (2)

Concerto pour bar à voix, de et par Isabelle Loubère et Marie-Anne Mazeau.

17h Parc Seguin – Spectacle pour enfants

spectacle payantLa petite Louise ses voyages et son accordéon

Marc Perrone et Marie-Odile Chantran

18h Théâtre Amusicien l’Estaminet – Causerie

Pier Paolo PasoliniLa rage selon PPP (1)

Trois causeries de Georges Didi-Huberman

[dropdown_box expand_text= »d’information » show_more= »Plus » show_less= »Réduire » start= »hide »]PPP, pour invoquer Pier Paolo Pasolini, poète et cinéaste. PPP, pour suggérer, comme écrivent les Italiens en abrégé, le primissimo piano ou « gros plan » cinématographique, façon de nous inviter à nous rapprocher des images. PPP, enfin, pour interroger la façon dont Pasolini, dans son extraordinaire film de montage documentaire intitulé La Rabbia (« La Rage », 1963) entrelace le pathétique avec le politique et tout cela avec quelque chose qu’il nomme lui-même le poétique. Et donc posons-nous ces questions : qu’est-ce que les montages de Pasolini font avec le pathos ? Qu’est-ce qu’ils disent de notre histoire politique ? En quoi forment-ils de véritables poèmes visuels et sonores ? Et pourquoi fallait-il faire une musique de tout cela ensemble ?[/dropdown_box]

18h Grange Vieira  – Spectacle performant

Free-songs en roue libre (2)

Juliette Kapla (textes, chant) Claire Bellamy (contrebasse) invité Sébastien Palis (accordéon)

18h Salle des fêtes – Conférence

Jazz et Bande Dessinée (1)

Pierre Henri Ardonceau (critique musical à Jazz Magazine/Jazzmag)
[dropdown_box expand_text= »d’information » show_more= »Plus » show_less= »Réduire » start= »hide »]Jazz et BD sont nés au XXème siècle. Comme le cinéma. Mêmes destins : considérés à leur naissance comme des arts mineurs par les conservateurs de tous poils. BD : distraction débile pour les cancres.
Jazz : musique de sauvages écoutée par des dégénérés. Cinéma : attraction pour fêtes foraines. Tous devenus arts créatifs majeurs à l’issue de longs et lents processus de légitimation… Ces 3 arts entretiennent des relations multiformes… Le Jazz et la BD forment un couple relativement méconnu…
Adultérin, légitime, ancillaire ? Quoiqu’il en soit… Ils ont eu de nombreux « enfants ». Un diaporama numérique d’environ 90 minutes en présentera quelques uns…[/dropdown_box]

18h30 Espace GFEN

Le Gueuloir

[dropdown_box expand_text= »d’information » show_more= »Plus » show_less= »Réduire » start= »hide »]C’est un espace incroyable : un bout de pré, un micro, des dizaines et des dizaines d’écrivains sont passés là, parfois première lecture publique tremblée, parfois textes affirmés par de longues saisons de création. Le Gueuloir est une scène magique, une improvisation uzestoise carrément préméditée.  Invité de la fin : Fred Ducom, romancier jeunesse, poète, éditeur.[/dropdown_box]

18h30 Place de la collégiale –  Radio Uz

Radio UzÉmission en direct et en public

Animée par Antoine Chao et les journalistes de Radio Uz

19h Espace CCAS – Performance

« La musée » le musée d’un autre genre

Vernissage de l’œuvre du jour avec Simon Lacouture (percussions) et Mathis Polack (saxophone)

[dropdown_box expand_text= »d’information » show_more= »Plus » show_less= »Réduire » start= »hide »]Ce que vous ne verrez jamais (la salière d’Ernest-Antoine) et ce que vous ne verrez plus (un compteur EDF datant du service public). Comme toute espèce disparue ou en voie de l’être, l’ouvrier à maintenant, sa galerie, son musée : La Musée ainsi nommé en hommage à Piotr Kowalsky, mineur lorrain d’origine polonaise, pour ne pas dire douteuse, qui aimait commencer la journée par ce bon mot : On n’est pas là pour l’amuser, la galerie ! Insolite, iconoclaste et décalé ce pittoresque espace culturel vous invite à déambuler parmi ses découvertes et ses trésors. Ouvert sur le monde et, comme lui, en perpétuelle mutation ce lieu interactif et spirituel, vous invite à la méditation. Enfin un bon plan social ![/dropdown_box]

19h Grange Vieira  – Théâtre

spectacle payantPour voix seule (1)

A voix seuleD’après une nouvelle de Suzanna Tamaro interprétée par Martine Amanieu
[dropdown_box expand_text= »d’information » show_more= »Plus » show_less= »Réduire » start= »hide »]Une vieille dame. Dans son appartement, assise près de la fenêtre, elle raconte l’histoire de sa vie. Peu à peu, au fil du récit, les souvenirs s’égrènent. Nous sommes son interlocuteur. Avec elle, nous pénétrons dans la vie des anonymes, ceux dont les manuels histoire ne parlent jamais.
« Hier, ceux de la télévision sont venus. Je les attendais depuis deux heures de l’après–midi, ils sont arrivés un peu avant quatre heures. En tout ils étaient six. Ils se sont mis aussitôt à chercher les prises. Pendant qu’ils installaient la caméra devant mon fauteuil, j’ai tout de suite dit à la journaliste qui allait m’interviewer que c’était la première fois que je parlais à la télévision. Est ce qu’ils étaient vraiment sûrs que je devais parler ? Est-ce que c’était vraiment moi qu’ils voulaient ? Elle m’a rassurée, elle m’a dit vous devez parler comme s’il n’y avait pas de caméra. »
Pour Voix Seule est un appel à la mémoire. C’est la voix d’une de ces personnes anonymes qui ne savait pas qu’un jour elle ferait partie de l’Histoire malgré elle.[/dropdown_box]

19h30 Espace NVO – Lecture

La cinquième saison d’Anny (2)

[dropdown_box expand_text= »d’information » show_more= »Plus » show_less= »Réduire » start= »hide »]Du mercredi 21 au samedi 24 août sur le stand NVO, avant l’apéro swing, lecture par des artistes d’extraits du livre d’Anny Gleyroux « La cinquième saison ». Militante CGT, militante de la culture, féministe, souriante pas complaisante, tenace et irritante, humaniste, tenante du débat contradictoire, Anny a joué en 2012 sa dernière saison de l’Hestejada d’Uzeste. [/dropdown_box]

20h Salle des fêtes – Spectacle

spectacle payantAbeced’erre et cinéma (1)

De et par André Minvielle (vocalchimiste déterritorialisateur)
avec Jean-François Cazeaux (commentateur, passeur) Arno Tartary (régisseur/éclaireur de la première heure)

[dropdown_box expand_text= »d’information » show_more= »Plus » show_less= »Réduire » start= »hide »]Un itinéraire alphabétique en trois étapes. Lors du festival 2011, le premier volet, de A à I, d’Accent à Improvisation, était nourri en majeure partie d’extraits du travail du cinéaste ethnologue Jean Rouch. Dans le deuxième volet, de J à R, il poursuit son dialogue, en chants contrechamps, avec les images, les sons, les mots et les voix de cinéastes français. J et R comme le jeu et la règle de Jean Renoir. Un troisième, cette année pour clore cet Abeced’erre : fin de partie….ouverte de S à l’autre après Z, la vingt septième, la lettre visuelle ,sonore et infinie du cinéma….S comme les sons pluriels, juste une image, de Godard; comme la pluralité des  histoire(s) de Fellini, Méliès, Petri, Ford et Chaplin, de la Place Tarhir au Larzac et Uzeste; comme des territoires, poétiques, politiques , jamais finis du cinéma…. Minvielle met l’accent sur des images qu’il recompose au sens musical du terme. Avec la participation de Bernard Semejian, ce projet bénéficie d’un partenariat avec le rectorat de Bordeaux et du soutien de la DRAC.[/dropdown_box]

 

20h Espace NVO – Apéro impro

Na Bala ya Kinsasha

avec Reagan Matuke Star (République Démocratique du Congo) et invités

20h Théâtre Amusicien l’Estaminet – Théâtre

spectacle payantVictoire, la fille du soldat inconnu (1)

Sylvie GravagnaDe et par Sylvie Gravagna

La joyeuse France d’entre-deux guerres patriarcale, coloniale et sexiste!
[dropdown_box expand_text= »d’information » show_more= »Plus » show_less= »Réduire » start= »hide »]À travers les aventures très ordinaires de Victoire Bayart, Sylvie Gravagna redonne vie aux oublié(e)s de l’Histoire. Les ficelles du théâtre et du cabaret crochètent un récit alerte traversé d’émouvantes figures féminines. Léger comme une comédie musicale, sérieux comme du théâtre historique, un spectacle à l’humour caustique, sensible et documenté. À partir du corpus des chansons de Mireille et Jean Nohain, Sylvie Gravagna a écrit cette comédie historico-musicale une jolie manière de retrouver ce répertoire musical, aux ritournelles espiègles, sans aucune trace de nostalgie.[/dropdown_box]

22h Chapiteau Alban Lubat – Concert

spectacle payantLa nuit divagante

Divers cités sans cécité ceci est… Ou pas cela… C’est selon… En toutes transartisticités

Trio électrico

Fabrice Vieira (guitare électrique, chant, voix, verbe) Thomas Boudé (guitare électrique, voix, verbe) Jules Rousseau (guitare basse, verbe)
[dropdown_box expand_text= »d’information » show_more= »Plus » show_less= »Réduire » start= »hide »]Confrérie de cordes électriques pour une poly-folie amusicale entrelardée hardie de mots dits mots crus ni cuits. [/dropdown_box]

Lubat and Lubat

Louis (batterie, voix, verbe) Bernard (batterie, voix, verbe, chant)
Fils père en joue en joute : quand le père y phrase le fils y nique ou l’intergénér’action à l’uzestienne.

papanoshPapanosh

[dropdown_box expand_text= »d’information » show_more= »Plus » show_less= »Réduire » start= »hide »]Derrière ce nom aux consonances d’Europe de l’Est se cache un quintet de jazz dans la belle tradition de ces musiciens libertaires qui habitent littéralement leur musique. À la croisée de l’underground new-yorkais, des Lounge Lizards, et des folles aventures de la Cie Lubat, Papanosh est une maison aux portes et aux fenêtres grandes ouvertes.[/dropdown_box]
Quentin Ghomari (trompette) Raphaël Quenehen (sax) Sébastien Palis (orgue et accordéon) Thibault Cellier (contrebasse) Jérémie Piazza (batterie)

Richard Martin scande Léo Ferré

avec Levon Minassian (doudouk)

[dropdown_box expand_text= »d’information » show_more= »Plus » show_less= »Réduire » start= »hide »]Léo Ferré, Richard Martin, c’est la résistance à tous les traquenards de la vie et des pouvoirs et de sacrés coups de gueule pour défendre ceux qui n’ont d’autre espoir que la poésie pour changer le monde et traquer la bêtise. C’est une amitié et une aventure qui durent bien au-delà de la mort.
Richard Martin est le fondateur du théâtre Toursky à Marseille.[/dropdown_box]

Improprio trio

Par ordre d’excès en scène Michel Portal (clarinettes, saxophone, bandonéon,vocalise) Sylvain Luc (guitare à 4 mains) Bernard Lubat (tambour, clavier, verbe et grimaces)
[dropdown_box expand_text= »d’information » show_more= »Plus » show_less= »Réduire » start= »hide »]Enjazzement pour s’y faire, musique sans papier glacé, trous de mémoires en marche avant toute, relation trinaire ni solution révélée… Plutôt départ en cata-strophe retardé quoique choc d’égos égaux, dialogues de flous. Inconscient  tour de passe passe indéfinissable à table… Le tout à peine commencé… À consumer sur place.[/dropdown_box]

00h Tonnelle Café du Sport – Bal

andre minvielleLe bal de Minvielle

Pour une grande Cumbia jazz fusion finale, au pays de los pires, André Minvielle (batterie/chant) Juliette Minvielle (piano/chant) Fernand Nino Ferrer (basse) Lucie Minvielle (accordéon diatonique et valse à Joseph) Illyes Ferfera (saxophone)

00h Patio l’Estaminet – Ciné concert

Ciné concert de poche

par Lison De Ridder, Paatrice Marchand et invités

00h30 Patio l’Estaminet – Bal

Le bal à Papanosh

Invité-e-s : Héloïse Divilly, Fawzi Berger (percussions) Fabrice Vieira (guitare, voix)

01h Kestion d’éthique – Musique à danser

Los Gojats

 

 

spectacle payant Billetterie : Billet à la journée => Tarif plein : 25 €, tarif réduit : 20 €
Billet souscription festival du 22 au 24 août Tarif plein : 60 euros / Tarif adhérent : 45 euros