La situation actuelle de la création artistique reste dans le flou «filon filou» politique niqué !? d’une société « capitulaliste », qui semble-t-il n’en a rien à secouer de cette façon d’exprimer la condition humaine, empêtrée qu’elle se trouve (?) dans sa « marchandisance » néolibérale « hysteristo- riciste» !! (et en couleur).
Ceci étant dit par écrit ni par hasard… l’imaginaire n’attend que nous, citoyennes et citoyens, ému- lation, éducation, inspiration, émancipation : ap- prendre à désobéir à la fatigue d’obéir, désobéir à ce qui nous empêche de grandir de devenir. Déconstruire ce qui a une fâcheuse tendance à nous détruire ?
« Qui veut jouer avec moi ? » dit l’enfant qui s’entraîne à se vivre avec… Apprendre à prendre, à se prendre en main, en face de face, de profil, apprendre à s’apprendre de l’autre, à jouer avec l’autre… et non pas non plus à se jouer de l’autre par concurrence rance en transe… imagique en diable !!
D’ici d’en d’Uzestivals en Hestejadas nous nous occupons de ce qui nous regarde, de celles et ceux qui nous regardent : amis, ennemis, bénévoles mili- tants concernés indifférents, couillonnés, sachants, croyants, pratiquants, ignorants etc.
Rien ne sert de courir essoufflé… il faut mûrir à point nommé…
Temps long, temps lent à l’œuvre, laissons aller respirer la pensée…
Penser mondial… agir local
et ainsi d’en suite œuvrer « artistisanal »