La Cie Lubat et ses artistes œuvriers associés ne perdent ni leur temps ni leur talent à la pro-duction de spectacles déclarés marchandisants télessivants ! Improètes distingués en libertés, esprits critiques en situation critique, ils risquent leur existence sur l’audacieux fil de l’inventé de l’exploré de l’expérimenté de l’exigé, minoritaires bien ou mal compris !
Expé’diction, explic’action export’action,
imagin’action improvision à l’œuvre…
Aucune ligne d’arrivée révélée-vendue/promise- à l’horizon.
Toujours de nouveaux commencements en pistes, sans peurs et sans reproches, réflexe poïélitique toujours intact, sans cesse recultivé, chaud bouillant, vital vivant vibrant, en tiers énergétique uz’esthétique.
«Transformation du souci en souci de la transformation»
et non pas non plus (comme il se doit dans la musique) à vendre
« transformation de six sons en soucis de six sous de saucisson ».
Citoyens d’art et d’essai, randonneurs d’alerte, alarme buissonnière fière altière en bandoulière. « Ce qu’on voulait faire c’est en le faisant qu’on le découvre ».
Jouer pour apprendre à jouer pour apprendre à vivre.
Art de la diffusion de l’art, en lieu et place des marchandages en diffusion de marchandises.
Il faudrait calmer ces marchandisances cu-culturelles d’enchanteurs « d’amour gloire et
chéquier », télé radio- actives, exploitants à grand bruit de la misère des autres.
Il faudrait laisser s’évaporer les nostalgies assourdissantes.